Veiller sur les plus dépendants : la résidence multi-générations

Voici une réflexion pour faire avancer la communauté, rôle qui devrait être celui de nos élus majoritaires. Dommage que la Mairie d’Alfortville ne s’y intéresse pas !

Agence Rheinert ©

Une résidence entourée de jardins et qui favorise l’échange entre les voisins : le concept s’appuie sur des installations modernes pour réduire les coûts de fonctionnement de l’habitat, tout en réintégrant celui de l’entraide entre voisins.

Pensée pour les centres périurbains, qui perdent peu à peu des commerces et dont les cœurs de villes disparaissent, la résidence s’ouvre sur des jardins partagés, et ne comporte ni cage d’escalier ni partie commune fermées. L’objectif est de connaître ses voisins pour s’entraider dans les tâches courantes, du petit bricolage à la garde d’enfants.

Les gardiens, "animateurs" des résidences
Le gardien d’une résidence a ce rôle de stimuler et créer un lien entre les habitants, une responsabilité qui pourrait être partagée avec la collectivité. Il engendrera des économies, en plus de celles réalisées grâce aux différentes installations allant dans le sens du développement durable. Ce concept pousse les habitants à se prendre en main" en devenant responsables

Logement social
Favoriser l’échange entre les voisins de différentes générations, avec un attachement particulier à l’environnement et aux économies d’énergie : une innovation par son aspect social. Ces résidences, proposant de 40 à 70 logements, peuvent être destinées à de l’accession à la propriété ou à du locatif social. Le coût de construction est environ 10% supérieur à une résidence ordinaire, (coûts "d’installations de qualité" telles que les toitures végétales ou les serres de jardinage).

Telle est l’idée de Patrick Rheinert à travers "Récipro-Cité", schéma ci-dessous.

Voilà un modèle qui répondrait beaucoup mieux aux attentes de la population alfortvillaise que celui des tours de Micolon, des Alouettes et d’ailleurs ; et avec moins de problèmes d’ordre, de dégradation, de « ghetto-isation Â», et d’égoïsme.

Reste une question locale : Notre Mairie immobiliste, clientéliste, et laxiste serait-elle capable de se montrer ouverte et d’étudier un tel projet ? La réponse est contenue dans la question !

 

Roland D.



09/04/2009

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