Le stationnement payant et écologique : une solution pour deux problèmes
Des parcmètres fonctionnant à l'énergie solaire !
Neuilly, Puteaux, Montreuil et beaucoup d'autres en Ile-de-France se sont lancées, et pas nous ?
C'est l'occasion de régler deux problèmes à la fois :
- le stationnement anarchique et ses "voitures ventouses", véhicules laissés garés pendant des semaines sur nos trottoirs qui empêchent de nettoyer la voirie et bloquent les poussettes;
- et l'image d'une ville moderne et écologique, utilisant son énergie à bon escient.
Un parcmètre de ce type, c'est moins de frais d'installation, et plus rapide.
Mais le parcmètre à énergie solaire ne doit pas être un gadget.
Notre proposition : couplons le avec une politique de stationnement cohérente !
1 - un tarif du stationnement de 0,30 à 0,50 € de l'heure (du lundi au vendredi, de 8h à 12h et de 14h à 19h). et un tarif "résidentiel" de 2 euros par semaine, avec une durée maximale de stationnement limitée à 7 jours consécutifs, seraient un juste prix pour un tel service, non ?.
Ces tarifs différenciés entre les résidents et les visiteurs optimiseraient la rotation des véhicules et rendraient nos trottoirs aux piétons.
2 – une extension des zones payantes à tous les secteurs submergés du centre ville ou du canton nord.
Cela représentera une manne supplémentaire pour le budget de la ville. Ca devrait se retrouver sur nos feuilles d'impôts locaux …
A quand les bâtiments municipaux à « énergie positive », donnant l'exemple d'une écologie responsable ?
Alors que le chantier (certes privé) de la ZAC Bords de Seine, près de Chinagora, semble enfin se lancer, c'est 18.000 m² de bureaux pour lesquels une Municipalité plus moderne raisonnerait «énergies renouvelables », accès en transports en commun et stationnement . Mais ça, c'est une autre histoire !
Roland