« Il n’y a pas de problème de stationnement à Alfortville ! »
« Il n’y a pas de problème de stationnement à Alfortville ! ». Cette affirmation est martelée par le Maire à chaque fois que la question lui est posée Il l’assène même en Conseil Municipal, se réfugiant derrière une étude qu’il aurait commanditée en 2006 à un bureau d’études de son choix !
Et pourtant …
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Faites comme nous : parlez-en avec les éboueurs : leurs camions restent bloqués (et bloquent toute une file derrière eux) par des véhicules qui squattent les trottoirs en empiétant largement sur la rue, comme c’était la cas de la photo 1.
Parlez-en aux responsables de crèches, qui ne parviennent pas à faire libérer les places marquées « dépose-minute » devant leur porte, où dorment des voitures-ventouses pendant des semaines entières (photo 2). NB : le panneau d’interdiction – cercle de droite - indique « accès pompiers » !!!
Et, le comble : le véhicule blanc garé en double épaisseur devant cet accès pompiers est … un véhicule municipal !!! (Monsieur le Maire, nous tenons à votre disposition son numéro d’immatriculation et de carte de stationnement de la mairie).
Parlez-en aux visiteurs du cimetière, dont les allées servent de parking aux voitures chaque weekend (voir notre article – lien). S’il est normal que des personnes handicapées puissent rentrer en voiture avec une dérogation, il est choquant de transformer ce périmètre en parking gratuit pour tous !
Parlez-en aux ASVP, qui sanctionnent les abus les plus criants, mais ne sont que 6ou 7 pour 42.800 habitants.
Ils vous diront tous que le stationnement est un vrai problème.
Tous … sauf un !
Depuis l’existence de ce blog, nous préconisons avec insistance :
- l’extension de la zone d’horodateurs avec tarif résidents(contre les voitures-ventouses)
- la création d’un parking public dans la zone commerçante du centre ville, avec 1 h gratuite
- l’extension du parking de la gare RER,
- le doublement des effectifs des ASVP et leur transformation en véritable Police Municipale,
Cela réglerait une bonne part du problème. Mais serons-nous écoutés un jour ?