Affichage : la Mairie donne le mauvais exemple

Le BMO (journal à la gloire de Mr Rouquet, Pharaon d'Alfortville ) en page 5, nous met en garde contre diverses infractions passibles de procès verbaux dont celle  sur la législation de la publicité, plus communément appelé « affichage sauvage Â» condamnable selon l'article 14 du décret n°80-923 du 21 novembre 1980.

Si la règle était la même pour tous, la Mairie devrait montrer l'exemple ou se faire elle-même un procès verbal pour les affiches accolées sur les protections pour piétons de nombreux carrefours (photos ci-dessous très récentes).

  

Avons-nous le droit d'enfreindre les règles comme notre Mairie, et se servir de ces protections publiques pour nos propres besoins, comme le fait tous les samedis, par exemple,  le PC au marché Carnot –lien- ( avec l'aval de la Mairie) ?  Je pose la question.

Lorsque l'on nomme une  Â« conseillère municipale déléguée au cadre de vie et à l'embellissement Â», elle se devrait d'être attentive à ce genre d'affichage semi-sauvage.

Elle pourrait se soucier aussi de mettre en route les panneaux électroniques lumineux, édifiés sur plusieurs places, sur lesquels devraient défiler les informations concernant notre commune. Car  à ce jour, rien ne fonctionne encore…

Nous sommes tous sensibles à l'environnement dans lequel nous vivons et demandons que les choses aillent sans cesse en s'améliorant, mais nous voulons du concret !

Que l'on m'explique alors ce que veut dire (p 4 du BMO) « conserver un regard  Alfortvillais sur la propreté et le respect de l'environnement au sein de notre commune et créer avec nos concitoyens un lien supplémentaire de proximité et de dialogue â€¦Â».  

 J'avoue humblement ne pas comprendre ce que cela signifie. La langue de bois serait-elle transmissible ?

Jacques

 



06/04/2009

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